Bon c'est un style que certains (he nir noosges) aimeront pas mais c'est le mien, j'aime écrire des trucs comme ça donc osef des autres LOL MDR OK.
(btw euh je me suis pas corriger donc oui y'a plein de fautes je sais)
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C’était un beau matin d’automne dans la belle ville de Speak. L’autrefois petite, maintenant grande Americus s’apprêtait, comme tous les jeudi matin, à aller faire sa promenade sur le mont Talk.
« Maman je m’apprête, comme tous les jeudi matin, à aller faire ma promenade sur le mont Talk!, avoua-t-elle avec regret à sa chère mère. »
Sa mère, Novalee, était décédée depuis 1 an, mais cela n’empêchais pas Americus de lui parler. Alors qu’elle partait en direction de la montagne, la jeune demoiselle remarqua quelque chose d’étrange, sont lacet était défait!
« Misère! Mon lacet est défait!, s’exclama-t-elle pour elle-même, Je vais devoir m’asseoir et le rattacher… »
C’est ce qu’elle fit, sachant très bien que cela réduisait considérablement son temps de randonné. Malgré tout elle continua son chemin, bien décidé à faire sa promenade, les traditions c’est sacré.
Sur la route elle rencontra un chaton, elle s’arrêta pour lui donner une croquette, puis se remis en marche. Mais le minet ne voulais pas en rester là, lui, alors il décida de la suivre. Il l’avais vu, le sac de croquette. Celui la même duquel elle avait sorti cette gâterie qu’elle lui avait tendu. Le sac était plein à ras bord, et il était prêt à tout pour le vider. Tel Gollum sur les traces des Hobbits, il se cacha dans l’ombre. Si bien qu’Americus ne remarqua jamais sa présence, du moins c’est ce qu’il croyait…
La jeune femme croisa un homme qui semblais somnambule, il marchait lentement et de manière saccader, en marmonnant. Americus fit mine de ne pas l’avoir remarqué et continua en gambadant. Mais petit à petit ils devenaient plus nombreux, elle en croisait un tous les 10 mètre, puis tous les 5 mètre, pour finir presque totalement encercler. Elle ne pouvait plus les ignorer et commença à paniquer. Tout d’un coup ils se mirent à la fixer. Une centaine de paires d’yeux vitreux pointés dans sa direction elle se mit à courir vers le mont talk. Zombies ou pas, une tradition reste une tradition.
Elle était presque arrivée au sommet quand un homme l’agrippa à la cheville et la fit trébucher. Avec la puissance de sa défunte mère elle assona un coup de pied au visage de l’homme et, sous les yeux terrifier d’Americus, sa tête alla s’écraser sur un arbre après un bref vol plané. L’impact fit du même coup sursauté le chaton qui se cachait derrière. A bout de force après ce coup de pied magistral, Americus se releva tant bien que mal et réussi à s’éloigner un peu, malheureusement elle s’effondra au sol, à bout de souffle. Sa main frôla la poche de son pantalon, elle senti le sac à l’intérieur et eu une idée.
« Chaton vient ici, dit-elle en sortant le sac de croquette de sa poche. »
Le matou fut surpris de voir qu’elle savait qu’il était là, mais finit par sortir de sa cachette et s’approcha de ce qui allait devenir le repas d’une horde de mort-vivants.
« Je te donnerais tout le contenu de ce sac plus ce que j’ai à la maison si tu m’aide, supplia-t-elle. »
C’est alors que quelque chose d’inimaginable ce passa.
« C’est d’accord. »
Americus était bouche-bée. Le chat venait de parler. Mais avant qu’elle ne puisse ouvrir la bouche il avait déjà englouti le sac et terrassé une dizaine de ses poursuivant. Elle finit par s’évanouir en regardant le combat, ses dernières forces l’avaient quitté. Combien de temps elle resta ainsi, elle ne le savait pas mais tout sembla durer quelque seconde. À son réveil elle était de retour dans son lit. Elle crut d’abord à un rêve mais l’alarme de son réveil-matin s’activa.
« Bon vendredi matin habitants de Speak!, s’exclama l’animateur radio. »
Surprise, Americus éteignis son réveil-matin. Vendredi? Elle était donc resté inconsciente presque une journée entière? C’est alors qu’elle aperçut le chaton au bout de son lit. Et à son tour il remarqua que la jeune fille était enfin réveillée.
« Je remarque que tu es enfin réveillée, dit-il avec perspicacité. »
La jeune femme, encore sous le choc de voir un animal parler pris quelque seconde avant de lui répondre.
« Tu… Tu parles? Comment est-ce-que c’est possible?, le questionna-t-elle. »
« Eh bien, tous les animaux parle, le plus étonnant c’est que tu puisses me comprendre. »
« Mais alors… »
Elle ne finit pas sa phrase et se dirigea en courant vers sa commode, elle ouvrit un tiroir en trombe et tomba sur un album de famille qu’elle se dépêcha de feuilleter.
« C’est bien ce que je croyais, ça explique tout, commença-t-elle.»
« Quoi donc?, demanda le minou intriguer. »
« Eh bien, ça m’étonne de ne pas l’avoir remarqué avant mais… Mon père est un chat! »
FIN